Les températures montent et l’été arrive à grands pas… Pour prolonger cet avant-goût de vacances, l’équipe de JVWEB a décidé d’explorer pour vous les 8 tendances qui font le marché de l’E-Tourisme. Avec plus de 50% des réservations hôtelières faites en ligne en 2016, le secteur ne cesse de croître. Nos astuces, en appui sur les résultats mis en exergue par le dernier observatoire des décideurs de l’E-Tourisme.
#1. Le Voyage, c’est la vie !
Les professionnels du Travel sont formels, le marché du voyage est au beau fixe. Près des ¾ des décideurs misent sur une croissance de leur activité au cours de l’année. Le quart restant, anticipent davantage une stabilisation. Dans tous les cas, les années noires semblent plutôt derrière !
#2. Le mobile, l’accessoire indispensable !
Si le mobile s’est globalement imposé sur tous les marchés, il est devenu un incontournable du voyageur. Ainsi, le mobile représente 42% de l’audience pour les acteurs privés, plus de 50% pour les institutionnels, comme les Offices de Tourisme. Aujourd’hui, entre 15 et 20% des réservations en ligne sont directement faites sur smartphone. Le service le plus concerné : le transport, qu’il s’agisse de location de véhicules ou de transport par bus.
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#3. Responsive, sinon rien !
Autre constat, le match Application Mobile versus Site en responsive. Si la tendance va majoritairement vers le responsive, les acteurs générant plus de 500 000 vu/mois envisagent néanmoins de maintenir leur application. Faut-il en conclure qu’en deçà d’un certain volume de trafic, les appli, dont la durée de vie excède rarement 30 jours, ne sont pas suffisamment rentables ? A vous de juger !
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#4. Data et personnalisation, le duo gagnant
Interrogés sur les innovations à développer dans les 5 prochaines années, les décideurs de l’E-Tourisme prévoient majoritairement (44%) de mettre l’accent sur la personnalisation et le ciblage. Objectif, déployer un important travail de collecte de data, grâce l’intervention de l’intelligence artificielle, afin d’améliorer Parcours Client et Expérience Utilisateur. Près de la moitié d’entre eux envisagent un chantier d’automatisation des conversions, à grand renfort de chatbot. A noter, seulement 15% semblent intéressés par les opportunités qu’offrent les objets connectés.
#5. Les petits plus conversion
Mature, le marché de l’E-Tourisme maitrise désormais les arcannes du tunnel de conversion web. Ainsi, les axes d’amélioration qui se dessinent s’orientent davantage sur le Parcours Utilisateurs. A noter toutefois, une différence de priorités selon la taille du site. Moins de 100 000 vu/mois, les chantiers phares traient de l’ergonomie des pages d’accueil ou des landing pages, ainsi que la personnalisation des offres, notamment via une mécanique de recommandation. Plus de 100 000 visiteurs, l’accent est mis sur la Relation Client, la personnalisation de l’offre et la conception des descriptifs produits.
#6. Un coût d’acquisition qui s’envole
Avec 44% du budget marketing octroyé au digital, l’E-Tourisme investit plus massivement que la moyenne sur le canal web (30%). En recherche de rentabilité permanente, les pro de l’E-Tourisme s’accordent néanmoins à dire que le coût d’acquisition moyen est en hausse. Petits éditeurs ou mastodontes, plus de 67% des personnes interrogées font le même constat…
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#7. Des campagnes multi-canal
Forts de ce constat, les acteurs de l’E-Tourisme rationnalisent leurs investissements. Ainsi, acteurs privés ou institutionnels, tous prévoient de développer l’acquisition de nouveaux clients via :
- les réseaux sociaux (39%)
- le SEO (35%)
- l’Emailing (31%)
Aujourd’hui, les leviers jugés les plus rentables restent les campagnes de Facebook Ads, ainsi que l’affichage sur le réseau Display. En terme d’organisation, 80% des sondés internalisent les arbitrages stratégiques. Toutefois, plus de 60% des acteurs de taille notable délèguent la gestion des campagnes à un prestataire dédié, tel que JVWEB.
#8. Des reporting à gogo !
Enfin, surtout, un suivi intelligent des performances. Ainsi, aujourd’hui, plus de 2 acteurs sur 3 disposent d’une équipe dédiée à la mesure de la performance. Malgré tout, les acteurs du marché regrettent un défaut de cohésion sur l’ensemble du processus. Nombre d’entre eux préconisent la mise en œuvre de mécaniques complètes, en appui sur des axes stratégiques transverses. Les 4 piliers d’une organisation durable : une stratégique claire, une équipe interne régulatrice, des procédures et enfin, des outils pour automatiser et faciliter le reporting.