Dans la lignée des mesures dénonçant l’indexation des sites « spammy », les rich snippets sont désormais dans le collimateur de Google. Traduction de données enrichies, les rich snippets peuvent se révéler un véritable atout pour votre référencement naturel. Toutefois, il est indispensable de s’en référer aux bonnes pratiques induites par Google pour en tirer profit.

Les rich snippets, des microdonnées qui attirent l’œil…

Et donc le clic ! Destinés à enrichir les informations sur une page indexée, les rich snippet correspondent à l’ensemble des micro-données affichées entre la balise title et la description.
Rich snippets
Description plus précise du contenu de la page, accroche visuelle au milieu d’une flopée de résultats, les rich snippets, utilisés à bon escient, ont une tendance naturelle à faire grimper trafic naturel et taux de clic.
Une astuce bien connue des référenceurs, amateurs de black hat en tête…  et désormais, un critère supplémentaire que Google surveille de près pour séparer le bon grain de l’ivraie.

Rich Snippet, de mauvaises habitudes à abandonner…

Dans sa quête de pertinence, Google attire  l’attention des éditeurs sur leur usage des rich snippets. Trop ou mal optimisés, c’est la sanction qui vous attend…
Sans surprise, la bonne méthode consiste à suivre les conseils du moteur de recherche délivrés au fil de ses guidelines. En substance, Google rappelle aux uns et aux autres, que tricher n’est pas jouer
Ainsi, il est  fortement déconseillé de :

  • Manquer de précision quant aux données, voire intégrer des données erronées.
  • Proposer des contenus invisibles pour l’internaute ou déconnectés du contenu de la page.
  • Multiplier les formats de balisage, au risque de freiner la bonne compréhension des informations par le moteur de recherche
  • Publier des contenus artificiels, comme de faux avis clients, par exemple

Rich Snippet, les bonnes pratiques anti suroptimisation

Une fois défait de vos éventuels mauvais réflexes, la bonne pratique consiste à valider vos actions en appui avec Webmaster Tools. Pour cela, deux approches:
La première consiste à vérifier les données structurées dans Webmaster Tools. Les contenus y sont listés, ainsi que les corrections à apporter.
Ensuite, soumettez votre page à l’outil de test des données structurées. Vous pourrez y voir un aperçu ainsi que la confirmation des capacités de lecture et d’intégration des données par Google.
Enfin, dans un souci d’homogénéité, optez pour des rich snippets respectant le format schema.org. Validé par Bing, Google et Yahoo, ce format vous assure une cohérence dans votre référencement naturel sur les différents moteurs de recherche.
En cas d’utilisation frauduleuse, un formulaire de dénonciation d’utilisation abusive est mis à disposition par Google.
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